DOCUMENTS CITES :
- Acte de Notoriété ( Rép. : N° non mentionné – Taxe : N° 75326 )
établi, en date du 29/06/1994 par Me Cheikna Sylla, un des principal
Notaires Ivoiriens en charge de la dite succession, précisant noms et
qualités des héritiers de feu Monsieur Félix Houphouet Boigny à savoir :
-Augustin houphouet Boigny ;
-François Houphouet Boigny ;
-Guillaume Houphouet Boigny ;
-Marie Houphouet Boigny – Épouse Demesse Zinsou ;
( Issus d'un premier mariage coutumier, non légalisé selon la Loi
en vigueur d'avant l'indépendance ).
-Hélène Houphouet Boigny ;
-Florence Odette Yamousso Houphouet Boigny ;
-Olivier Antoine houphouet Boigny ;
( adopté par Monsieur et Madame Félix Houphouet Boigny – aux
termes d'un Jugement rendu par le Tribunal de Première Instance
d'Abidjan le 12 Mars 1981 – Jugement civil N°1020 ).
- Jugement Civil N°118 du 27/07/2000 - rôle Général N° 14/96
Ministère de la Justice | Cour d'appel de Bouaké | Tribunal de
Bouaké
« Nous Peuple de Côte d' Ivoire [...] » Tribunal de Première Instance
de Bouaké - Section de Toumodi | Audience Civil du Jeudi 27 Juillet
2000. ( pages 14 et 15 citées ci après ).
- Certificat de non Appel ni Opposition :
République de Côte d' Ivoire | Union – Discipline – Travail
Tribunal de Bouaké | Section de Toumodi | acte N°28 du 25/02/2002
- Jugement N°1261 supplétif d'acte de naissance concernant Hélène
Houphouet Boigny. ( « née à Yamoussoukro le 10 Octobre 1955 » ).
Demandeur : Houphouet Boigny – Ministre d' État. Comparaissant
en personne, avec pour témoins ses deux Soeurs aînées
Mesdames Faitai et Adjoua Houphouet Boigny ainsi que son
cousin Monsieur Yao Simon.
TRIBUNAL DU 1er DEGRE DE TOUMODI – COMPOSITION :
Président AKA Alphonse – 1er Assesseur AKANGA Kouamé –
2è Assesseur KOFFI Yao – Secrétaire DIEKET Yao Jean.
Tribunal du 1er Degré de Toumodi – Audience publique du ''26
Aout 1960'' – Matière Civile – et non pas comme date mentionnée
( 20.4.1965 ) dans le rendu du Jugement Civil N°118 du 27/07/2000
rôle Général N° 14/96, ci dessus cité.
- Article du Fraternité Matin parution des Samedi 5 et Dimanche 6
Juin 1993 :
« SEMINAIRE DE REFELXION À SAKASSOU » ... « Une région malade de
ses cadres » ... « Une Femme Sur Le Trône ? »
- Courrier de Monsieur Philippe Rideau à Me Verges ( mon avocat d'alors )
daté du 14/03/2000 ( liste de biens restreints concernant un
« fameux legs verbal » effectué au profit de l'État Ivoirien –
Peu d' éléments immobiliers concernés – A être exclus, parmi
d'autres biens : l'hôtel particulier ( Résidence privée ) sis rue Masseran –
Paris 7émme.
- Courrier en date du 25 Septembre 2004 de Madame Hélène Houphouet
Boigny adressé à Maître Agueh Tahou Monique – « Objet: succession de
feu Mr Félix Houphouet Boigny » .
- Courrier adressé à Monsieur Serge Fradkoff - 18, rue du Marché 1204
Genève, en date du 29 Mars 2007 ( Sa réponse à mon courrier en date du
16 Mars 2007 ). Ancien administrateur des biens de Monsieur Félix
Houphouet Boigny - Titres de propriété des sociétés PICALPOC ET
GRAND AIR S.A ( GENEVE ) tranférés à Monsieur Yves Piaget au début
des années 1980. Monsieur Serge Fradkoff était "le légataire
testamentaire" de mes parrains Monsieur et Madame Jacques Timey.
( Monsieur Jacques Timey - Ancien Directeur Manager de la Maison "Harry
Winston" sise à Genève - rue du Rhone - Maison Mère : sise à New-York -
Maison créée par le grand Diamantaire et Joiallier : Monsieur Harry
Winston ). Monsieur Ronald Winston est le successeur de feu son Père.
EXTRAIT ( PAGES 14 ET 15 ) DU JUGEMENT Civil N°118 du
27/07/2000 - rôle Général N° 14/96 :
[ ... ] « PAR CES MOTIFS
Statuant publiquement, contradictoirement, en matière civile et en
premier ressort ;
Déclare les demandeurs recevables en leur actions en liquidation et en
partage de la succession de FEU FELIX HOUPHOUET BOIGNY ;
Les déclare irrecevables en leur tierce opposition contre le jugement
supplétif d'acte de naissance n°1 du 20.4.1965
Déclare veuve CADY RACINE SOW, mal fondée en sa demande de
liquidation et de partage de communauté de biens ;
Déclare nul de nullité absolue l'acte de notoriété du 29 Juin 1994 ;
Ordonne l'établissement d'un acte d'hérédité déterminant les noms et
qualités des héritiers de FEU FELIX HOUPHOUET BOIGNY ;
Ordonne d'inscrire comme héritiers :
1. AUGUSTIN HOUPHOUET BOIGNY ;
2. FRANÇOIS HOUPHOUET BOIGNY ;
3. GUILLAUME HOUPHOUET BOIGNY ;
4. MARIE N'DRI KAN HOUPHOUET BOIGNY ;
5. HELENE HOUPHOUET BOIGNY ;
6. OLIVIER ANTOINE HOUPHOUET BOIGNY ;
Désigne Maître AGUEH TAHOU Monique notaire à Abidjan, à l'effet de
faire établir l'acte d'hérédité susdit, de procéder à la liquidation et au partage
de la succession de FEU FELIX HOUPHOUET BOIGNY ;
Dit qu'elle dispose d'un délai de 06 mois à compter de sa saisine pour
accomplir sa mission ;
Dit qu'elle se référera au Président de la section du Tribunal de Toumodi
en cas de difficultés ou de contestations sérieuses ;
Met les frais de la procédure à la charge de la succession ;
ainsi fait, jugé et prononcé, les, mois et an que dessus ;
Et ont signé, le Président et le Greffier en CHEF.
SUIVENT LES SIGNATURES
D.F = 18 000 FRANCS
ENREGISTRE A BOUAKE
LE 24 AOUT 2000
REGISTRE A.J VOL 5 F° 53
N° 849 BORDEREAU 1415/01
RECU DIX HUIT MILLE FRANCS
L'INSPECTEUR ;
.../...
EN CONSEQUENCE : Le Président de la République de Côte d' Ivoire ;
mande et ordonne à tous huissiers de justice à ce requis de pouvoir à
l'exécution du présent jugement ;================================
Aux Procureurs Généraux et aux Procureurs de la
République près les cours d'appel et les tribunaux de premières Instance d'y
tenir la main ;===============================================
A tous Commandants et Officiers de la force publique
de prêter main forte lorsqu'ils en seront légalement requis ;=============
En foi de quoi, la présente première grosse,
collationnée et certifiée conforme à la minute à été signée, scellée et délivré
par nous, Greffier en chef de la section de Tribunal de Toumodi, le quatorze
Novembre deux mil à Maître AGNES OUANGUI pour le compte de Dame
HÉLÈNE HOUPHOUET BOIGNY , sur sa réquisition ./.
TOUMODI, LE 14 NOVEMBRE 2000
LE GREFFIER EN CHEF
( SIGNATURE )
BAKAYOKO MAMADOU »
Il est cependant à noter que l'acte rectificatif susdit a été établi
par Me Agueh Tahou Monique qu'en date du 28/12/2004 ( Acte de
notoriété déterminant la qualité des héritiers de son excellence Félix
Houphouet Boigny – Rép N° 377 – Taxe N° « non mentionné » ). Selon le
Jugement Civil N°118 du 27/07/2000 lui donnant mandat
Une succession privée devenue dès son ouverture ( 29 Juin 1994 ),
« une succession d'État » ...
Résumé succint pouvant permettre une meilleur compréhension
des faits.
En ces temps où la Côte d' Ivoire vit des moments difficiles, douloureux
et qui perdurent. Une situation inacceptable pour un pays ayant vécu tant
d'années de paix accompagnées d'un essor économique certain, la
succession du Président Houphouet Boigny, décédé le 7 Décembre 1993,
reste d'actualité, tant les irrégularités ( faux et usage de faux ) commises en
Côte d' Ivoire, en France, en Suisse, au Sénégal, au Maroc, En Grande
Bretagne, États Unis N.Y, ..., la rende comparable à ce qui peut être qualifié
comme un « grand vol organisé » ...
Tout d'abord est il pensable qu'un Ancien Député, plusieurs fois Ministre
d'État sous la 4ème et début de la 5ème République, ainsi que Ministre de la
Santé Publique et de la Population du gouvernement Félix Gaillard, Président
de Côte d' Ivoire de l'année de l'indépendance au 7 Décembre 1993, n'ait pu
laisser de « TESTAMENT » ?
Comment un Homme Politique respecté tant en Côte d' Ivoire que dans le
monde, et dont la fortune était notoire, n'ait « pu » laisser de
« TESTAMENT », comme l'on prétendu, entre autres personnes à recevoir
ses dernières volontés : ses Notaires Me. Jean-Michel Normand ( France ),
Me. Cheikna Sylla et Me. Denise Richmond ( Côte d' Ivoire ) ... , les
administrateurs de ses biens... ?
Comment comprendre que la liste des biens exhaustives ( avoirs
bancaires, sociétés... quelques soient les pays concernés ),
n'ait pu être produite ( charge aux premiers Notaires de la succession ) et
portée à la connaissance de tous les héritiers concernés... Une rétention
d'informations parmi tant d'autres – inacceptable.
Quels documents « authentiques » ont produits principalement Guillaume
et Marie Houphouet Boigny – épouse Demesse - Zinsou ( issus d'un premier
mariage coutumier non légalisé, tout comme Augustin et François Houphouet
Boigny ), pour avoir eu accès à certaines institutions bancaires et biens
immobiliers ( en Côte d' Ivoire, France, Suisse ... ), alors qu'ils avaient initié
en 1995 en France, près du Tribunal concerné, une action en Justice pour se
prévaloir seuls héritiers... Ce cas fut renvoyé, en 1996, près de la
Juridiction Ivoirienne concernée ( Tribunal de Bouaké – Section Toumodi ),
Mme Feue Cady Racine Sow, leur Mère, étant partie prenante ?
ils ont été déboutés le 27 Juillet 2000 ( Rendu du Jugement Civil
N°118 ci dessus mentionné ). Ce Jugement est basé sur l'acte de notoriété
établi le 29 Juin 1994 ( Étude de Me Cheikna Sylla ).
A prendre en considération qu'un « Certificat de non Appel ni
Opposition » a été établi en date du 15/02/2002. Voir liste documents
produits.
A savoir, que ce rendu du Jugement concernant la succession de
Feu Monsieur le Président Félix Houphouet Boigny non appliqué à ce
jour, commence par ces termes :
« Nous Peuple de Côte d' Ivoire [ ... ] »
Comment expliquer que soit transféré à Marie H.B. Demesse Zinsou , sur
simples témoignages de M. Yves Piaget, Joaillier Suisse et ancien Consul
honoraire de Côte d' Ivoire à Genève, et de M. Alain Belkiri, ancien préfet
en France et ancien conseiller du Président Houphouet Boigny, la grande
propriété Genevoise, sise à Cologny ( la Capite ) ?
Comment expliquer ce fameux « Legs Verbal » au bénéfice de
« l'État Ivoirien » : non accompagné d'un écrit et d'une « signature »
authentifiée de Monsieur Houphouet Boigny, comme le précise la Loi.
Une quotité, toujours selon la Loi, à respecter car « limitant les
biens pouvant être pris par l'État Ivoirien » ? Charge à l'État Ivoirien de
faire preuve des biens acquis, par Monsieur Houphouet Boigny, sur les
deniers de l'État.
Comment, donc, expliquer le fait que l'hôtel particulier sis rue Masseran
( Paris 7ème ), Résidence Privée de Monsieur Félix Houphouet Boigny
soit, dès 1994, devenu la propriété de l'État Ivoirien ? Courrier de
Monsieur Philippe Rideau à Me Vergès en datée du 14/03/2000. Faisant état
des biens immobiliers concernés par ce « Legs Verbal » :
« Re. : HOUPHOUET-BOIGNY
Mon cher Maître,
Je vous confirme, bien volontiers, que la désignation du bien immobilier sous
« l'article deuxième », pages 6 et 7, de l'acte de délivrance de legs rayé par
votre cliente, ne correspond en aucune manière à l'hôtel Masseran lui-même
situé entre la Rue Masseran et le boulevard des Invalides.
On doit reconnaître que la désignation des biens, tels que mentionnés sous
cette rubrique, est assez complexe et inhabituelle.
En fait, la désignation indiquée porte exclusivement sur les biens, ci-après
précisés, à savoir :
- un appartement de trois pièces (lot 415)
- une cave au premier sous-sol (lot480)
- un emplacement de véhicule (lot 1913)
- un studio (5063).
Vous pourrez observer sur le plan annexé la localisation en bleu du groupe
d'immeubles, où sont situés les biens ci-dessus, par rapport à la localisation
de l'hôtel Masseran, indiqué en rouge sur le plan.
Cette désignation procède probablement des mentions portées lors de
l'acquisition du terrain mentionné sous cette rubrique par la société civile
immobilière de construction, qui a bâti l'ensemble immobilier et reprise
probablement par les notaires dans les origines d'acte de propriété, lorsqu'il
y a eu la division des bien vendus, dont ceux mentionnés plus haut
Par ailleurs, pour rassurer votre cliente, vous observer que l'acte
d'acceptation et de délivrance de legs mentionne une estimation globale de
F. 25.000.000 pour l'ensemble du legs, portant sur les actifs immobiliers
mentionnés dans l'acte.Il va de soi que si l'hôtel Masseran était inclus dans
cette désignation, cette estimation serait absurde et irréaliste, donc
parfaitement contestable lors de l'enregistrement des actes.
Je vous précise enfin, que pour des raisons de similitudes, tous les actes
signés par l'ensemble des ayants-droit doivent être identiques dans leur
formulation et qu'il est, dans ces conditions, impossible de modifier quoique
ce soit.
Aussi, je me permets de vous remettre ci-joint les pages 6 & 7 de l'acte
soumis à la signature de votre cliente et qui, à travers les explication
techniques que je vous donne, devrait pouvoir être régularisé en l'état.
Je vous prie d'agréer, mon chère Maître, l'expression des mes salutations
distinguées.
Signature ( bas de page 2, dernière page )
Paraphe ( bas de page 1 ). »
Très peu de biens, somme toute, comparé à tout ce dont s'est saisi l'État
Ivoirien dès 1994.
Concernant ce même hôtel particulier, il est à signaler qu'une prisée
( 11 Juillet 1994 ) a été effectuée par Me Dominique Watine-Arnault , à
la demande de Maître Paul Chardon. Un document que je n'ai pu
obtenir que le 9 Mars 2000 suite à une correspondance avec Maître
Dominique Wattine-Arnault en date du 1er Mars 2000 :
« Madame,
En réponse à votre courrier en date du 28 février 2000, je tiens à vous
préciser que l'inventaire des biens mobiliers dépendant de la
succession de votre père, le Président HOUPHOUËT-BOIGNY, a été
réalisé à la requête de l'étude de Maître Chardon, notaire à Paris, et de
ce fait l'état descriptif et estimatif des objets a été remis à cette étude.
Ce dossier est actuellement suivi par Maître Thierry LE-PLEUX, notaire
associé de l'étude Chardon, qui je pense pourra vous fournir de plus
amples renseignements ».
Valeur estimée de cette prisée à hauteur de 43.493.500 FF - Mais, à
préciser que certains éléments de cette collection privée non pas été
évalués mais portés à connaissance comme un tableau de VINCENT -
( VAN GOGH ).
Entre quelles mains se trouve cette collection privée ? Des éléments
( tableaux de Maîtres, Mobiliers ) disparus ? Monsieur Delsasso,
décorateur, pourrait lui aussi fournir une liste exhaustive des éléments
composants sa collection privée se trouvant à Masseran... Et à noter,
des Objets d'Arts, de fort belles factures, présents de Sa Majesté le
Roi Hassan II du Maroc ainsi que d' Autres Amis Connus et
Personnels... Présents provenant des Grandes Maisons de la Place
Vendôme.
La question est de savoir si les premiers Notaires de la succession
ont saisi l' administration ( ou les ) concernée(s), au vue de
l'enregistrement de cette Prisée, afin de prévenir toute « vente
illicite » ... Tous Tableaux de Maîtres et Mobiliers signés ayant une
traçabilité, donc répertoriés avec Noms des différents propriétaires
et acquéreurs à travers les temps – Dates et Maisons de
Ventes/expositions dans divers musées... concernées. A noter que
preuve de cette préservation aurait dû m'être transmis, par les Notaires
de la succession.
Il est à préciser que tous les tableaux et le mobiliers vendus par
les Maisons Christies et Sotheby's ( New—York et Londres ), une vente
initiée du vivant de Monsieur Félix Houphouet Boigny en vue de la
construction de l'hôpital sis à Yamoussokro accompagnant la
Basilique, avaient déjà été choisis par ses soins – Provenance
résidence privée de Yamoussokro et de Masseran. ( Précisions
apportées suite à l'article de Monsieur François Soudan - Jeune
Afrique N°1939 du 10 au 16 Mars 1998 – Page 14 - « L'Héritage
d'Houphouët (suite) Une précision d'Hélène Houphouët Boigny » ).
Un Droit de réponse.
Que sont devenus les appartements sis à Paris dans le 7ème.
arrondissement ? Une Liste établie par le Ministère de l'économie
des Finances et de l'industrie – Direction Générale des Impôts –
République Française - Notification de Redressements.
Qui m'a été adressée en Côte d' Ivoire ( adresse erroné et manuscrite ).
daté du 23 Octobre 2000.
Nom du signataire : M. Millot ( Inspecteur des Impôts ),
fait état des biens immobiliers appartenant à Monsieur félix Houphouet
Boigny, dont ci joint la liste de ceux sis dans le 7ème arrondissement à
Paris, :
- 5, 7 et 7 bis rue de la Chaise ;
- 13 Avenue Bosquet ;
- 166A et 168A rue de Grenelle, 14A, 16 et 16bis rue de la comète et 15 ;
passage Jean Nicot ;
- 50 et 52 avenue Bosquet ( 3emme étage ) ;
- 50 et 52 avenue Bosquet Paris ( 4emme étage ) ;
- 2 et 4 rue Saint Simon et 215 Boulevard Saint Germains .
Qui a pris possession de ces biens ci dessus cités ?
A savoir que l'État Ivoirien s'est saisi de l' appartement sis au 59 boulevard
des Invalides Paris 7ème arrondissement, autrefois occupé par Mme Faitai
Houphouet Boigny ( soeur aînée du Président Houphouet Boigny ), de
l'appartement occupé par sa cousine Mme Djeneba Cissé, sis rue duroc,
Paris 7ème, ainsi que tous les biens immobiliers sis à Marnes la
Quoquette. Liste citée dans ce même document.
Tous vendus ?
Que sont devenus les biens immobiliers sis en Côte d' Ivoire,
france... auparavant gérés par l'agence A.I.C.I. S.A. de Madame
Dominique Folloroux Ouattara ?
Que sont devenus les sociétés/biens/avoirs bancaires sis aux
États-Unis, Grande-Bretagne, Maroc, Sénégal, France ... ?
En ce qui concerne les avoirs bancaires en France, aucune information n'a
été portée à ma connaissance ! une autre rétention d'informations
( parmi tant d'autres ) de la part des notaires concernés. Cependant, j'ai
pu obtenir du Crédit Lyonnais ( Paris ), les relevés de comptes transférés à
Maître Paul Chardon et Maître Pierre Zecri - décédé - ( administrateur de
biens nommé par le Tribunal de Paris – jusqu'à rendu du jugement de Côte
d' Ivoire ), qui ont soldé ces comptes ! Comment cet état de fait a t' il pu être
possible ?
Maître Bouvet, selon information, aurait repris le Mandat de Maître Pierre
Zecri...
Quels ont été les honoraires de tous ces différents notaires ?
honoraires qu'il se sont octroyés, mais sur quelle base ?
Que sont devenus tous les administrateurs des biens de Monsieur
Félix Houphouet Boigny ? Leurs Identités ? ... Des prête-noms dont
parmi tant d'autres M. Abdoulaye Diallo... Charge aux notaires de la
succession de les communiquer à tous les héritiers.
Est il à comprendre que tous les Notaires... Administrateurs des Biens...
auraient fait fit de l' éthique dûe à leurs professions ?
Qu'est il advenu d'une ''soit disante'' « copie non datée et non
signée d'un mandat » ( ! ) donné par le Président de la République à
Monsieur Georges OUEGNIN pour gérer son compte bancaire sis à à la
ROTSCHILD-BANK à Zurich. » !?! ... Élément apparaissant dans « les
inventaire » effectués par Me Gisèle Ouegnin – Commissaire priseur –
en date des 1er, 2, 3, 4, 9 et 15 Mars 1994 dans les résidences sises à
Abidjan-Cocody Ambassade, Abidjan-Cocody Riviéra Mafit et la
résidence privée de Yamoussokro – Documents signés par Me Gisèle
Ouegnin, accompagnés de son sceau.
Il serait dit qu'un certains tableau de "Renoir" ( Portrait de femme ),
serait en possession de monsieur Georges Ouegnin. Provenance :
Collection privée de Monsieur Houphouet Boigny ...
A noter qu'aucune prisée n'a été effectuée, comme il se devait.
Ces différentes résidences contenant mobilier signé, tableaux de
Maîtres et objets d' Art de grande valeur. Collection privée de
Monsieur Félix Houphouet Boigny dont certaine des pièces ont
disparus ( Résidence de Yamoussokro et de Cocody... ). Scandaleux !
Concernant les avoirs bancaires domiciliés à L' Union Des Banques
Suisses à Genève ( U.B.S ), il m'aura fallu près de trois ans pour obtenir
gain de cause près du Tribunal Genevois ( reddition de tous les
comptes ... Édifiant ! Un Cas faisant figure de « Jurisprudence » -
Pouvoir Judiciaire - Cour de Justice – Chambre Civil – Arrêt du 11 Décembre
1998 ).
Une action nécessaire puisque le courrier qui m'avait été adressé, par
Maître Cheikna Sylla en date du 28/09/1994, ne faisait état que des avoirs ci
après cités ( U.B.S ).
EXTRAIT PAGE 4 DE CE COURRIER, AVEC SIGNATURE BAS DE PAGE :
« SOUS N° 509.619.L.Z.
DEPOT TITRES SFR. 15'068.
SOUS N° 542.378.A.X.
DEPOT TITRES SFR. 60'275.
COMPTE GESTION SFR. 1'983.67 C ( S.E.O. )
COMPTE GESTION USD 513.05 C ( S.E.O. )
AU NOM DU DEFUNT :
UN COMPARTIMENT COFFRE-FORT N° 2674,
AUPRÈS DU SIÈGE DE L'U.B.S, RUE DE RHONE, 8
CONTRAT RESILIÉ LE 24.01.1994 PAR Mme DEMESSE ZINSOU NÉE
HOUPHOUET BOIGNY. » .
Il est à noter que différents transferts ont été effectués à partir des
différents comptes domicilies près de l' U.B.S. ( reddition des comptes
m' étant dû - Arrêt du 11/12/1998 ). Pour exemple :
- cpt. N° 579.577.01 M
date : 28.3.94 - Montant FrS. : 24'000'000
Bénéficiaire : UBS N° 566.580.00 – Fondation Recordia, Vaduz.
A nouveau, quels documents, à être authentifiés par les
différentes Institutions Bancaires, Gestionnaires de Fortune et
administrateurs de biens, quelques soient les lieux et les pays
concernés, ont été produits ? Forcement avec la signature de Monsieur
Félix Houphouet Boigny, à être authentifiée. Et au besoin, être certifiée
conforme par un Expert ou une Experte Graphologue agréée près des
différentes Instances des Tribunaux concernés. Il s'agit, cependant de
la succession d'un Monsieur de quelques Biens...
Est il pensable et acceptable que cette même Institution Bancaire
( U.B.S ) passe sous silence mes comptes privés ( donc hors
succession ), ouverts par Monsieur Félix Houphouet Boigny, à mon
endroit ? Des comptes non portés à ma connaissance, dès son décès,
mais découverts à travers mes investigations. Des avoirs transférés
( dès décembre 1994 ), vers différents pays. Quel est le gestionnaire de
ces comptes qui a pu opérer ses transactions ( deux signatures étant
nécessaires : le gestionnaire et un autre responsable ) ? une autre action en
justice à mener, à nouveau, à l'encontre de la Première Banque Helvète
( U.B.S ) pour récupérer mes avoirs ?
Dommages et intérêts s'imposent à travers les temps passés depuis
l'origine de l' ouverture de ces dits comptes. Faux et usages de faux
concernant mes comptes privées ci dessus évoqués, et certainement
d'autres.
Une Expertise à été effectuée par Madame Françoise
de Ricci d'Arnoux – Graphologue-Conseil GGCF – Expert près la Cour
d'Appel de Paris - Expert près de la Cour Administrative d'Appel de
Paris – Expert agréé par la Cour de Cassation H. ;
concernant des signatures contestées par mes soins, apparaissant sur
des documents bancaires ( U.B.S ).
CONCLUSION DE CETTE EXPERTISE ( PAGE 12 ) :
« En réponse à la question qui nous a été posée, l'ensemble des
observations et comparaisons consignées dans la présente note
nous permet de déposer les conclusion suivantes, avec, *toutefois
les réserves d'usages compte tenu de l'examen des signatures de
Questions en photocopie.
[ ... ]
3- La mise en parallèle des trois signatures suspectes avec les
signatures de Madame Hélène HOUPHOUET BOIGNY révèle un
aspect général assez semblable mais de nombreuses
divergences dans le geste, le mouvement, l'appuie et les
détails.
Il apparaît que la signature de Madame Hélène HOUPHOUET
BOIGNY a été imitée de façon habile sur les documents
bancaires et la lettre du 10 septembre 1999 soumis à nos
examens.
Pour être formelle, il conviendrait que nous puissions
examiner les documents de Questions en original.
Fait et clos à Paris, le quatre avril deux mille cinq
Signature. bas de page
F. de RICCI d'ARNOUX »
Qu'est il advenu du fameux compte « Everlasting » domicilié à l' United
Overseas Bank de Genève ? Question déjà soulevée dans
l'article de Monsieur François Soudan – Jeune Afrique N°1938 en date
du 3 au 9 Mars 1998 :
« Deux ordres de mouvements en notre possession, datés, l' un du 20 janvier
1989 et l'autre du 17 février 1989, signé de la main d'houphouët, totalisent
ainsi la coquette somme de 240 millions de FF. Destinataire : un très
étrange compte Everlasting à l'United Overseas Bank de Genève, sur
lequel Hélène Houphouët réclame aujourd'hui toute la lumière. D'autres
bénéficiaires sont moins mystérieux : un très célèbre joaillier genevois,
sur le compte duquel sept versements ont été effectués pour un montant
de 5 millions de francs suisses (20 millions de FF). Et l'un des plus
proches conseillers d'Houphouët aujourd'hui homme d'affaires prospère à
Abidjan, généreusement gratifié d'un solde de ... 4 millions de francs
suisses (16 millions de FF) sur une autre opération Everlasting. ''Où sont
passées toutes ces sommes ?'' » .
Des documents cités dans ce même article de Jeune Afrique qui ne
m'ont jamais été produits par mon avocat d' alors Maître Jacques
Vergès ( parmi certainement tant d'autres ), malgré ma saisine de
l' Ordre des Avocats puis avoir interjeté appel près de la Cour d' Appel
de Paris. Ayant toujours été déboutée...
Entre quelles mains se trouvent les sociétés immobilières sises en
Suisse à savoir :
- S.I. Grand Air,
- S.I. Picalpoc ( qui possède la propriété sise à Cologny – « La Capite »
occupée par Mme Demesse Zinsou ).
- S.I. La Glaneuse ( parmi les biens immobiliers détenus par cette S.I. :
la propriété sise à Collonges-sous-Salève – Une propriété rachetée,
à mon nom, par Monsieur Félix Houphouet Boigny à mes Parrains
Monsieur et Madame Jacques Timey. Décédés ( 1980 - 1981 ).
- S.C.I Alima.
- Autres sociétés immobilières ? ... ( ou participations dans X
sociétés financières - toujours inconnues ) ! ...
Qu'en est il de la société Intercafco ( Café/Cacao ), sise à Genève et
ayant antenne ou terminal à New-york – USA ? - Société/comptes
bancaires/biens immobiliers ? ... Entre quelles mains ? - Quels
administrateurs ? ...
En ce qui concerne la succession de Feus mes parrains Monsieur et
Madame Jacques Timey ( dont j'étais l'héritière à hauteur de la moitié de leurs
biens ) : la réponse de monsieur Serge Fradkoff ( courrier listé dans
documents cités, en date du 29 Mars 2007 ) - 2ème alinèas :
"Succession de feu Monsieur Jacques TIMEY : il ne vous a pas échappé
qu'aucun lien juridique ne me liant à vous à ce propos, je me vois dans
l'obligation légale de refuser de vous fournir quelque indications que ce soit.
Je vous prie de recevoir, chère Hélène, mes meilleurs salutations.
Courrier signé
Serge Fradkoff "
A noter que ce courrier, curieusement, à été adressé à "Madame Thérèse
Houphouet Boigny", à "mon" adresse Parisienne, alors que ma
correspondance lui ayant été adressée, était faite sur "mon papier à
en-tête " ... Autre action en justice à entreprendre à l'encontre du légataire
testamentaire de Monsieur Jacques Timey ? Documents judiciaires à
toujours pouvoir être produits. Délais de contestations, selon la Loi, de
30 ans.
Qu'en est il du fonctionnement, de la composition des membres du
« board » et de la gestion du « Prix Félix Houphouet Boigny Pour La
Recherche De La Paix » décerné chaque année depuis sa création à
l' U.N.E.S.C.O. ( 1991 ) ?
Tant d'interrogations et bien d'autres restées à ce jour sans
réponses, alors qu'il ne m'était pas donné de m'investir dans toutes ses
recherches. La charge des premiers Notaires dits de la succession de
Feu Monsieur Félix Houphouet Boigny et par la suite de Maître
Agueh Tahou Monique ( mandatée par le Tribunal de Première Instance
de Bouaké - Jugement Civil N°118 du 27/07/2000 ).
Quels ont été les actes posés par Maître Agueh Tahou Monique
dans le règlement de cette succession ?
Dans un courrier en date du 25 Septembre 2004, j' interrogeais Maître
Agueh Tahou Monique, quant au règlement de cette succession. Près de
quatre années s'étant écoulées depuis date de son mandat en vue de
liquidation et partage de la succession.
Il ne s'agissait pas d'une « relance » ( courrier en date du
25 Septembre 2004 adressé à Me A. Tahou « Objet: succession de feu Mr
Félix Houphouet Boigny » ),
comme se plaisait à me signifier Maître Monique A. Tahou dans un de
ces courriers, mais des interrogations de ma part faites face au non transmis
de l'avancement de ce dossier. Le délai de six mois déterminé par le Tribunal
de Toumodi avait été plus que largement dépassé depuis le 27/07/2000 et il
est à noter qu'aucune prise de contacte n'avait été effectuée par Maître A.
Tahou depuis la date de son mandat.
J'ai adressé tous les documents ( produit des recherches de mes
avocats Suisses principalement, mes recherches personnels. Actions
menées depuis près de 12 ans... ) à Maître Monique A. Tahou.
Documents que j'ai par la suite demandés à mettre restituer. Tous mes
efforts, dans mes luttes, ne me semblant pas avoir été pris en
considération par le Notaire mandaté en vue de la liquidation de la
succession.
A nouveau, un travail de recherches, qui ne n'incombait pas,
mais à être apprécié ( documents juridiques, correspondances
diverses dont notaires ... ) par Maître Monique A. Tahou, dans
l'accomplissement de son mandat. Ses recherches personnels ?
Ses approches près des premiers Notaires de cette succession pour
obtenir l'ensemble des pièces de leurs dossiers constitués ? ...
Il semblerait que tous les différents acteurs et parties prenantes...
de ce que l'on pourrait qualifier de « Grand Vol Organisé », ont agi en
toute impunité et pour grand nombre d'entre eux à observer la « Loi du
silence », renvoyant à l'État Ivoirien pour toute information. Un État qui reste
curieusement muet malgré toutes mes interrogations à Son Endroit, à travers
les temps, à savoir dès 1994 jusqu'au dernier dossier adressé à Monsieur le
Premier Ministre Seydou Diarra afin qu'il le transmette à l'État Ivoirien. Ce que
je pense à été fait, mais hélas sans résultat.
Une dernière interrogation et non des moindres : que penser des
« Attributs de la Royauté Baoulé ( WAREBO ) » dont certaines pièces
ont été « volées » par des « rebelles » durant ces temps où la Côte
d' Ivoire était ( fait inacceptable ) divisée en deux parties ( Nord/Sud ) ?
Il s'agit « d' Attributs sacrés » ayant leur fondement dans l'histoire
du Peuple Baoulé. A quand leurs restitutions ? Un Devoir et une
Obligation.
La succession privée, devenu « d'État », Une affaire étouffée
depuis tant d'années, concernant un Grand Monsieur, Mon Père, qui a
oeuvré pour l' Indépendance et la construction de son Pays avec l'aide
de ses Compagnons de luttes et de Grandes Dames, dont certains et
certaines hélas disparus ( trop de noms à citer ). Mais que hommage, à
toujours leurs soit rendu, à travers les temps... Un grand merci aussi,
pour tout le Peuple Ivoirien qui l'a porté durant le temps de sa Charge.
Monsieur le Ministre Jean Konan Banny, mon Oncle, Un
Grand Monsieur, Avocat et grand Orateur, ancien Ministre de la
Défense, ancien Ministre Résident du District Autonome de
Youmoussokro, membre du Conseil des sages du PDCI, Ancien
Compagnon de toutes les luttes et Ami de toujours d' Houphouet,
ayant pu pardonner « l' impardonnable », acte posé par son ami en
1963. Que mon Oncle bien aimé accepte, à nouveau, et garde pour
toujours mes excuses qui seront à travers moi, ces excuses publiques
qui se rajoutent à celles de mon Père, à partager avec toute sa
Famille, ma Famille... Selon la Tradition. Il pourra selon sa volonté, un
véritable souhait de ma part, relater toutes ces périodes vécues avec
passion ( près d'un demi siècle d' Histoire... ) avec ce regard propre à
lui qui est de ce « Détachement » et donc de « Vérité », dans la grande
Tradition Akan, pour les générations issues d'après l'indépendance,
d' aujourd'hui et de demain... A connaître et savoir.
Il serait largement temps que la vérité soit connue et que Justice
soit faite, selon le Rendu d'un Jugement commençant ainsi :
« Nous Peuple de Côte d' Ivoire [...] »
A considérer que ce n'est pas de gaité de coeur, mais de guerre
lasse, qu'après d'interminables et parfois décevantes démarches
auprès de plusieurs Avocats, Notaires et investigations personnelles,
que je me trouve désormais contrainte à porter ce
« DENI DE JUSTICE » au grand jour.
UNE SPOLIATION DE TOUS MES DROITS.
SIGNATURE :
Hélène Houphouet Boigny – Abla Pokou - ( Licenciée en Sciences
Politiques de l' Université de New-York – N.Y.U. ), fille d' Houphouet,
est la petite fille du Roi des Baoulés – Feu Kouakou Anougblé , par
sa mère Madame Anougblé Akissi. Tous deux décédés en 1958.
Une Royauté dont l'origine prend ses racines ancestrales ( la Loi du
Matriarcat ) dans le Royaume Ashanti du Ghana dont est issu le peuple
Baoulé, par la Reine Abla Pokou arrivée en Côte d'Ivoire en 1730 et
dont elle porte le Nom, qui lui a été donné avant sa naissance.
Pour toute les personnes qui seraient concernées et partie
prenante, d'une manière ou d'une autre, par la succession du Président
Félix Houphouet Boigny, une mise en garde :
Qu'il ne soit fait aucun mal à mes enfants, dont j'ai la garde
( selon rendu du Tribunal de Première Instance d' Abidjan - Jugement
civil Contradictoire N° 451/CIV 1 - en date du 14 Juillet 1991 ) :
- Xavier Anougblé
- Maud Akissi
- Magali N'dri Kan
Ainsi qu'à ma personne – Et de quelques manières que ce soient...
- une action en diffamation ? A véritablement bien réfléchir avant
de l' intenter à mon encontre...
A noter, que « LA LETTRE DU CONTINENT » - INDIGO
PUBLICATIONS
– 142 rue Montmartre, 75002 Paris ( www.AfricaIntellignce.fr ) ;
s'est penchée depuis plusieurs années sur cette succession
– A lire, parmi d'autres parutions antérieures, ces quelques articles :
- POUVOIRS ET RESEAUX - COTE D'IVOIRE – N°442 en date du 4 Mars
2004.
« Qui a hérité d'Houphouët-Boigny ? » ;
- DIPLOMATIE D'INFLUENCE – EN MISSION SPECIALE –
COTE D'IVOIRE - N°447 en date du 20 Mai 2004.
« T.P. Nguyen » ;
- POUVOIRS ET RESEAUX - COTE D'IVOIRE – N°455 en date du 30
Septembre 2004.
« Les comptes secrets d'Houphouët » ;
- POUVOIRS ET RESEAUX - COTE D'IVOIRE – N° 465 en date du 24
Février 2005.
« Qui a pris la fortune du ''Vieux'' ? » ;
- WHO'S WHO - FRANCE > COTE D'IVOIRE – N° 469 En date du 21 Avril
2005.
« Hélène Houphouët-boigny » ;
- COTE D'IVOIRE
« Adieu le patrimoine immobillier du ''Vieux''. » - N° 482 En date du 17
Novembre 2005.
Et l'article parût dans J.A. / L'INTELLIGENT – N° 2075 – En date du 17 au
23 Octobre 2000 :
- COTE D'IVOIRE – "Gueï veut sauver la résidence parisienne d'Houphouet "
« [...] L'hôtel Masseran appartient aux héritiers d'Houphouët, mais l'État
Ivoirien a jusqu'à présent conservé un droit d'usage. » .
Ne rien changer à cet écrit ainsi qu'aux contenus des
documents/courriers/articles présentés. Par Respect dû à leurs
Auteurs.
FIN
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En date du 24 Juillet 2007
IL A ÉTÉ DEMANDÉ CECI ( PAR E-MAIL ), AU JOURNAL « LE PATRIOTE »
AFIN QUE L'INTEGRALITÉ DE MON TEXTE PRÉSENTÉ, SOIT.
Objet :
" Je tiens à vous préciser qu'apparemment, suite à une erreur informatique lors de la mise en ligne de mon blog, les six dernières lignes du texte, concernant Jeune Afrique, étaient manquantes ( ci après rajoutées sur ce présent e mail et donc sur mon blog ). Des problèmes dus au "système INFORMATIQUE"...
NOTA BENE : PRÉCISER LES PARUTIONS / ARTICLES / DATES / RUBRIQUES, DE LA "LETTRE DU CONTINENT" QUI ÉTAIENT DÉJA CITÉS SUR MON BLOG ET DONT "LE PATRIOTE" FAIT CURIEUSEMENT ABSTRACTION.
ÉTANT DONNÉ QUE VOUS PRETENDEZ REPRODUIRE L'INTEGRALITÉ DE "MON BLOG". PRIÈRE BIEN VOULOIR PROCEDER À CES
RECTIFICATIONS POUR VOS LECTEURS, LA SUITE DE MON TEXTE :
[...]
LE MOT « FIN » TERMINE MES PROPOS.
VOUS REFERER À MON BLOG.
http://succession-mr-f.houphouet-boigny.over-blog.net/ "
- UNE PRECISION À APPORTER ET QUI EST D'IMPORTANCE POUR QUE
CELA SOIT SU :
MADAME ANOUGBLE AKISSI, MA MÈRE, EST LA FILLE DE FEU LE ROI
DES BAOULÉS, KOUAKOU ANOUGBLE ( TOUS DEUX COMME
INDIQUÉS CI DESSUS, DÉCÉDÉ EN 1958 )
- LE JUGEMENT NUMERO 1261 SUPLETIF D'ACTE DE NAISSANCE
CONCERNANT HÉLÈNE HOUPHOUET BOIGNY, EST L'ACTE POSÉ PAR
HOUPHOUET - MON PÈRE - EN PERSONNE - ALORS MINISTRE D' ÉTAT,
EN VUE DE RECONNAITRE LÉGALEMENT SON ENFANT ( ACTE DU 26
AOUT 1960 ), AVEC LES TÉMOINS DÉJAS PRÉCISÉS DANS LES
DOCUMENTS PRECITÉS.